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mercredi 20 juin 2018

Washington veut quitter le Conseil des droits de l'Homme

Les États-Unis doivent annoncer leur départ du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU mardi. Ils critiquent l'absence de réforme de l'institution et la jugent partiale envers Israël.

Un nouveau signe de défiance de Washington à l'égard des organismes multilatéraux. Les États-Unis doivent claquer mardi la porte du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU (CDH), qu'ils n'ont pas réussi à faire réformer et jugent partial envers Israël. Selon des responsables onusiens, ce départ de l'institution basée à Genève, longtemps brandi comme menace par Washington, doit être annoncé mardi soir à Washington par le secrétaire d'État Mike Pompeo et l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley.
 D'avance, l'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch (HRW) a vivement critiqué ce nouveau repli. Le CDH a "joué un rôle important dans des pays comme la Corée du Nord, la Syrie, la Birmanie et le Soudan du Sud", a dit le patron de l'ONG Kenneth Roth. "Mais Donald Trump n'est intéressé que par la défense d'Israël", a-t-il dénoncé dans un communiqué. Départ au lendemain de vives critiquesDepuis l'arrivée début 2017 du républicain Donald Trump à la Maison-Blanche, les États-Unis se sont retirés de l'Unesco, ont coupé plusieurs financements à des organes de l'ONU et annoncé notamment leur retrait de l'Accord de Paris sur le climat et de l'accord nucléaire avec l'Iran endossé par les Nations unies. 
Leur décision attendue concernant le Conseil des droits de l'Homme survient au lendemain de vives critiques du Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Zeid Ra'ad Al Hussein, contre la politique "inadmissible" et "cruelle" des autorités américaines de séparation d'enfants de leurs parents sans-papiers à la frontière mexicaine. En mai, il avait jugé la réponse d'Israël aux manifestations palestiniennes à Gaza "totalement disproportionnée" et soutenu au grand dam des États-Unis l'idée d'une enquête internationale indépendante. 

Un nouveau départ, 12 ans après George W. Bush

Dans son combat pour faire réformer le Conseil des droits de l'Homme, Washington a plaidé pour que la question des "droits de l'homme en Palestine" ne soit plus systématiquement mise à l'ordre du jour du CDH. Washington dénonce depuis toujours le fait qu'Israël soit le seul pays au monde ayant un point fixe (appelé point 7) à l'ordre du jour de chaque session, soit trois fois par an. 
Les États-Unis, dont le mandat au Conseil s'achevait en principe en 2019, avaient aussi réclamé que l'exclusion des états membres qui commettent de graves violations des droits de l'Homme soit votée à la majorité simple et non aux deux tiers. Ils avaient enfin demandé un renforcement du processus de sélection des états membres. 
Le départ des États-Unis du Conseil des droits de l'Homme ne sera pas une première. Il y a douze ans, l'administration du républicain George W. Bush avait déjà boycotté le CDH, avant que le démocrate Barack Obama ne décide d'y faire participer son pays à nouveau.
publié le 

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