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mercredi 20 décembre 2017

Statut de Jérusalem: les États-Unis dégainent leur veto à l'ONU

Les m


Les États-Unis ont mis ce lundi leur veto à une résolution de l'ONU, soutenue par 14 pays, qui condamnait leur décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël.

Ils ont utilisé leur "joker" pour ne pas être désavoués par la communauté internationale. Les États-Unis ont mis ce lundi leur veto à une résolution de l'ONU qui condamnait leur reconnaissance unilatérale de Jérusalem comme capitale d'Israël. Le texte avait été soutenu par 14 de leurs 15 partenaires au Conseil de sécurité, dont les plus proches alliés européens de Washington, Londres et Paris. La résolution représentait un camouflet pour la diplomatie américaine.

Présenté par l'Egypte, qui a dénoncé les "graves répercussions" de la décision américaine, le texte réclamait que la décision annoncée il y a une dizaine de jours par le président républicain Donald Trump soit révoquée. Cette reconnaissance a déclenché la colère des Palestiniens, des manifestations dans le monde musulman et une réprobation quasi unanime de la communauté internationale. 

Un véto "inacceptable", selon les Palestiniens

Le statut de Jérusalem "doit être résolu par la négociation", soulignait le texte, évoquant de "profonds regrets concernant les récentes décisions sur Jérusalem", sans toutefois mentionner les États-Unis. Il affirmait que "toute décision ou action visant à altérer le caractère, le statut ou la composition démographique" de Jérusalem "n'a pas de force légale, est nulle et non avenue et devait être révoquée". 
Le véto des États-Unis pour empêcher la condamnation de leur reconnaissance de Jérusalem a été qualifié "d'inacceptable" par les Palestiniens. "Le recours condamnable et inacceptable des États-Unis au veto menace la stabilité de la communauté internationale par l'absence de respect qu'il révèle", a dit Nabil Abou Roudeina, porte-parole du président Mahmoud Abbas. De son côté, Israël, par la voix de son président Benyamin Netanyahu, a lancé un "merci" aux États-Unis pour son initiative. 

Des négociations intenses en coulisses

Pendant une semaine, la rédaction du texte a donné lieu à d'intenses négociations -parfois lors de réceptions ou même au bar de l'ONU- entre la représentation diplomatique palestinienne, ayant rang d'observateur, et plusieurs délégations de pays arabes ou européens. L'objectif était "d'avoir quatorze votes" face aux États-Unis, ont expliqué des diplomates. 
Pour cela, certaines ardeurs des Palestiniens -pour un premier texte plus for, qui citait nommément les États-Uni- ont dû être refrénées. Avec ce processus, même sanctionné au final par un veto, il s'agissait aussi de faire pression sur l'administration américaine et ses futures discussions avec les deux parties afin que les droits des Palestiniens soient davantage pris en compte, ont ajouté des diplomates. Il fallait enfin souligner qu'avec leur récente décision, les États-Unis bafouaient une série de résolutions sur le conflit au Proche-Orient.
 LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 

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