news alert

>NEWS ALERT: Stand Up and Fight for Cambodia’s survival !! រួមឈាមខ្មែរអើយ គប្បីភ្ញាក់ឡើង !!!! គ្មានកម្លាំងបរទេសមកពីក្រៅណាមួយអាចផ្តួលរំលំបនអាយ៉ង ហ៊ុនសែននិងអាយួនបានទេ។ គឺមានតែកម្លាំងប្រជាពលរដ្ឋខ្មែរបះបោរកេណ្ឌគ្នាតាមច្បាប់ធម្មជាតិទេដែលអាចរំដោះស្រុកខ្មែរបាន។ នាំគ្នាទៅបោះឆ្នោតជាមួយអាយួននិងអាយ៉ងហ៊ុនសែនដើម្បីអ្វី ? ខ្មែរអើយក្រោកឡើងតស៊ូដើម្បីជាតិខ្មែររស់ !! Hand in hand we stand !! Shoulder to Shoulder we march !! Heart to Heart we rearch!! Stand Up and Fight for Cambodia’s survival !!

dimanche 14 mai 2017

Pyongyang teste le nouveau président sud-coréen avec un tir de missile

Pyongyang a mis à l'épreuve dimanche, avec un nouveau tir de missile, la politique des Etats-Unis et du nouveau président sud-coréen Moon Jae-In.
REUTERS
Il s'agit du deuxième tir nord-coréen en quinze jours. Le projectile a parcouru environ 700 km avant de s'abîmer en mer du Japon.
Pyongyang a mis à l'épreuve ce dimanche, avec un nouveau tir de missile, la politique des Etats-Unis et du nouveau président sud-coréen Moon Jae-In, partisan d'une reprise du dialogue sur le dossier nucléaire nord-coréen. 
Il s'agit du deuxième tir nord-coréen en 15 jours,
et du premier depuis la prestation de serment, mercredi à Séoul, de M. Moon, qui a dénoncé une "provocation irresponsable", quand Donald Trump a lui demandé un durcissement des sanctions contre le Nord. 

"Nouvelle provocation"

Lancé de la base militaire nord-coréenne de Kusong, dans la province du Nord Pyongan, vers 05h30 (20h30 GMT samedi), le projectile a parcouru environ 700 km avant de s'abîmer en mer du Japon, selon l'état-major interarmes sud-coréen. Le commandement américain du Pacifique a estimé de son côté qu'il ne s'agissait vraisemblablement pas d'un missile intercontinental. 
"Que cette nouvelle provocation soit un appel à toutes les nations pour mettre en oeuvre des sanctions bien plus fortes contre la Corée du Nord", a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué. Après une réunion d'urgence avec ses conseillers à la sécurité nationale, M. Moon a affirmé que son gouvernement condamnait fortement ce "défi grave à la paix et la sécurité sur la péninsule coréenne et à la communauté internationale", a déclaré son porte-parole Yoon Young-Chan. 
Contrairement à sa prédécesseur Park Geun-Hye, M. Moon défend l'idée d'un dialogue avec le Nord pour apaiser une situation particulièrement tendue sur la péninsule. Mais il a averti ce dimanche qu'un tel dialogue serait possible "seulement si le Nord change d'attitude". 

Situation crispée

Lors de sa prestation de serment, le nouveau président, issu du Parti démocratique (centre-gauche), qui avait été la cheville ouvrière du dernier sommet inter-coréen en 2007, s'était dit prêt à se rendre "à Pyongyang si les conditions (étaient) réunies". 
La situation s'est crispée sur la péninsule en raison de l'accélération des programmes balistiques et nucléaire nord-coréens. La Corée du Nord, qui cherche ouvertement à développer des missiles intercontinentaux susceptibles de porter le feu nucléaire sur le sol américain, a réalisé cinq essais nucléaires, dont deux depuis le début 2016.

LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire