Il aura fallu attendre presque 71 ans pour qu’un président américain se rende à Hiroshima où, le 6 août 1945, une atomique a été larguée par les États-Unis, faisant plus de 140.000 morts. Trois jours plus tard, c’est Nagasaki qui est touché de la même façon, entraînant la mort de 74.000 personnes.
La visite de Barack Obama, en marge du G7, est donc très attendue. Mais il a d’ores et déjà fait savoir qu’elle ne serait pas placée sous le signe des excuses mais de la lutte contre les armes nucléaires. Une posture qui s’est attiré les foudres de la Corée du Nord, qui a dénoncé un «calcul politique puéril» de la part d’un«lunatique de la guerre nucléaire», et d’une partie de la presse américaine qui, comme le New York Post, évoque la «visite honteuse» du président au Japon.
La visite de Barack Obama, en marge du G7, est donc très attendue. Mais il a d’ores et déjà fait savoir qu’elle ne serait pas placée sous le signe des excuses mais de la lutte contre les armes nucléaires. Une posture qui s’est attiré les foudres de la Corée du Nord, qui a dénoncé un «calcul politique puéril» de la part d’un«lunatique de la guerre nucléaire», et d’une partie de la presse américaine qui, comme le New York Post, évoque la «visite honteuse» du président au Japon.
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