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vendredi 3 novembre 2017

Etats-Unis, France, ONU… La communauté internationale refuse de reconnaître l'indépendance de la Catalogne


L'accueil est plutôt froid. Le président du Conseil européen, Donald Tusk, a apporté son soutien à Madrid après la déclaration d'indépendance de la Catalogne, vendredi 27 octobre. Il a déclaré que l'Espagne restait "la seule interlocutrice" de l'Union européenne. Plusieurs pays ou associations de pays ou lui ont emboîté le pas.

L'Allemagne

Berlin refuse de reconnaître l'indépendance de la Catalogne et soutient pleinement Madrid. Le porte-parole de la chancelière Angela Merkel a déclaré que Berlin soutenait la position "claire" de Mariano Rajoy, qui vise à ramener l'ordre et le calme. "Nous espérons que toutes les personnes concernées utiliseront les voies du dialogue et de la désescalade", a-t-il ajouté.

Le Royaume-Uni

Même tonalité du côté du gouvernement britannique. "Le Royaume-Uni ne reconnaît et ne reconnaîtra pas la déclaration unilatérale d'indépendance faite par le parlement régional catalan", a annoncé un porte-parole du gouvernement. "Elle est basée sur un vote qui a été déclaré illégal par les tribunaux espagnols. Nous continuons à vouloir voir l'Etat de droit maintenu, la Constitution espagnole respectée, et l'unité préservée."

La France

Emmanuel Macron a également apporté son "plein soutien" aux autorités centrales espagnoles, en marge d'un déplacement en Guyane, vendredi. "Je l'ai toujours dit, moi j'ai un interlocuteur en Espagne, c'est le Premier ministre Rajoy et je n'ai pas de commentaire à faire sur des sujets qui sont des sujets intérieurs, a déclaré le président français à la presse. Il y a un Etat de droit en Espagne avec des règles constitutionnelles, [Mariano Rajoy] veut les faire respecter et il a mon plein soutien."

L'Union européenne

"Pour l'Union, rien ne change. L'Espagne reste notre seule interlocutrice", a écrit Donald Tusk, président du Conseil de l'Union européenne qui représente les 28 Etats membres. Ce dernier a parallèlement appelé Madrid à "favoriser la force de l'argument plutôt que l'argument de la force".
L'Union européenne "n'a pas besoin d'autres fissures, d'autres fractures, a réagi de son côté le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. Nous n'avons pas à nous insérer dans ce débat hispano-espagnol mais je ne voudrais pas que demain l'Union européenne se compose de 95 Etats membres".

Les Nations unies

"Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres encourage toutes les parties à chercher des solutions dans le cadre constitutionnel espagnol, a déclaré Farhan Haq, un porte-parole de l'ONU. Toute discussion sur le niveau ou la nature de l'attribution de pouvoirs demeure une affaire intérieure de l'Etat".

Les Etats-Unis

Les Etats-Unis se sont également exprimés. "La Catalogne fait partie intégrante de l'Espagne, et les Etats-Unis soutiennent les mesures constitutionnelles du gouvernement espagnol visant à maintenir l'Espagne forte et unie", a indiqué la porte-parole du département d'Etat. "Les Etats-Unis jouissent d'une grande amitié et d'un partenariat durable avec notre allié de l'Otan, l'Espagne", a-t-elle ajouté, soulignant que les Etats-Unis et l'Espagne "coopèrent étroitement pour faire progresser [leurs] priorités économiques et de sécurité communes"

Le Canada

"Le Canada reconnaît une Espagne unie", a déclaré à la chambre des Communes Andrew Leslie, secrétaire parlementaire de la ministre des Affaires étrangères Chrystia Freeland. "Un dialogue entre l'Espagne et la Catalogne au sein du cadre constitutionnel demeure la meilleure voie à suivre", a-t-il continué. 

La Turquie

Selon le ministère turc des Affaire étrangères, "la décision unilatérale du parlement catalan est incompatible avec la Constitution et les lois espagnoles, et ne reflète pas la volonté publique de l'Espagne ou de la région". Ankara "espère qu'une solution fondée sur la démocratie et l'Etat de droit sera trouvée".


franceinfo avec AFPFrance Télévisions
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